Derniers articles Ressources humaines

Indemnisation par la CPAM du mi-temps thérapeutique.

Quand le délai de carence constitue un dommage collatéral...

Christine MARTIN

Liberté religieuse – contrat de travail et droit de l’Union Européenne

Selon la CJUE le port de signes religieux en entreprise peut être restreint dans la mesure où (i) une règle interne prévoit la mise en place d’une politique de neutralité vis-à-vis de sa clientèle et (ii) si les moyens pour réaliser cet objectif sont appropriés et nécessaires.

Thomas T’JAMPENS

Obligation de rémunérer le salarié absent pour cause personnelle indépendante de sa volonté et pour une durée relativement sans importance.

Dix jours d’absence constituent une durée relativement sans importance au sens de l’article L.1226-23 du Code du Travail.

Christine MARTIN

Cas de justification du licenciement d’une salariée enceinte.

L’absence de titre autorisant une salariée étrangère à travailler en France justifie son licenciement, nonobstant son état de grossesse.  

Christine MARTIN

Code de la Route contre Code de la Sécurité Sociale… Qui l’emporte, s’agissant du paiement par l’employeur des contraventions commises par le salarié ?

Le Code de la Sécurité Sociale l’emporte : ces paiements constituent des avantages en nature soumis à cotisations

Christine MARTIN

Faute inexcusable : le salarié peut-il exercer un recours à l’encontre de l’entreprise utilisatrice ?

L’action en reconnaissance de la faute inexcusable de l’employeur ne peut être engagée qu’à l’encontre de l’employeur de la victime

Patricia VIANE CAUVAIN

Prise d’acte de la rupture : ce qui caractérise un manquement grave

L’absence d’organisation par l’employeur d’une visite médicale d’embauche, de visites périodiques ou même de reprise est constitutive d’un grave manquement qui légitime la prise d’acte de la rupture du contrat par le salarié.

Manquement à l’obligation de sécurité

Le salarié victime de violences à la suite d’une altercation qu’il a générée ne peut invoquer un manquement à l’obligation de sécurité de l’employeur, dès lors que celui-ci ne peut anticiper un tel risque et qu’il était personnellement intervenu pour faire cesser l’altercation.