Rupture du contrat de travail

Derniers articles Rupture du contrat de travail

Nullité du licenciement et indemnisation du salarié qui ne réclame pas sa réintégration.

L’indemnisation résultant du caractère illicite du licenciement est au moins égale à six mois de salaire.

Christine MARTIN Christine MARTIN

Sort de la clause de non-concurrence non réglée par la convention de rupture conventionnelle.

L’employeur doit renoncer au bénéfice de la clause de non-concurrence au plus tard à la date de rupture fixée par la convention de rupture conventionnelle

Christine MARTIN Christine MARTIN

Mise à pied conservatoire : Conséquences de l’engagement tardif de la procédure de licenciement.

Une mise à pied conservatoire d’une durée de deux mois présente un caractère disciplinaire et fait obstacle au licenciement de l’intéressé.

Christine MARTIN Christine MARTIN

Licenciement économique : Nécessité de prendre en compte les ruptures conventionnelles pour déterminer les obligations de l’employeur en matière de PSE

Il faut tenir compte des ruptures conventionnelles s’inscrivant dans un processus de réduction des effectifs dont elles constituent une modalité.

Christine MARTIN Christine MARTIN

Nullité du licenciement prononcé pour abus non avéré  de la liberté d’expression

Le licenciement prononcé par l’employeur pour un motif lié à l’exercice non abusif de la liberté d’expression est nul 

Patricia VIANE CAUVAIN Patricia VIANE CAUVAIN

Le licenciement pour faute d’un salarié pour des faits antérieurs à l’expiration de la période de protection mais connus postérieurement peut-il être nul ?

Il doit être recherché, si ce n’est pas postérieurement à l’expiration de la période de protection que l’employeur a eu une exacte connaissance des faits fautifs, et si le comportement reproché au salarié n’a pas persisté après expiration de la période de protection. 

Patricia VIANE CAUVAIN Patricia VIANE CAUVAIN

Licenciement pour des faits qui se sont déroulés en dehors des heures de travail

Les faits commis, alors que le salarié conduisait sous l'empire d'un état alcoolique son véhicule de fonction au retour d'un salon professionnel, où il s'était rendu sur instruction de son employeur, de sorte que les faits reprochés se rattachaient à sa vie professionnelle, justifient son licenciement pour faute

Patricia VIANE CAUVAIN Patricia VIANE CAUVAIN

Liberté d’expression, lanceur d’alerte et nullité du licenciement

Le licenciement d’un salarié pour avoir relaté des faits qui s’ils étaient établis seraient de nature à caractériser une violation du code de déontologie de la profession, l’employeur ne soutenant pas que le salarié avait connaissance de la fausseté des faits qu’il dénonçait, et la mauvaise foi de ce dernier n’étant pas établie, est nul 

Patricia VIANE CAUVAIN Patricia VIANE CAUVAIN

En cas de licenciement d’un salarié protégé dans les entreprises de moins de 50 salariés, le C.S.E n’a pas à être consulté sur le projet de licenciement.

Le projet de licenciement d'un membre élu du CSE (titulaire ou suppléant), d'un représentant syndical au comité ou encore d'un représentant de proximité est uniquement soumis à l’avis du CSE, dans les entreprises d’au moins 50 salariés, sauf si une telle consultation est prévue par accord d’entreprise.

Thomas T’JAMPENS Thomas T’JAMPENS

Actionnaire/Salarié : Quid de la contrepartie financière pour la clause de non-concurrence ?

La jurisprudence a depuis longtemps imposé l’obligation de prévoir une contrepartie financière pour les salariés dans le cadre d’une clause de non-concurrence, mais qu’en est-il des salariés simultanément actionnaires de la société auprès de laquelle ils bénéficient d’un contrat de travail ? 

Eléonore CATOIRE Eléonore CATOIRE