Construction

Derniers articles Construction

Elément d’équipement

Un enduit de façade ne constitue pas un élément d’équipement dès lors qu’il n’est pas destiné à fonctionner, même s’il a une fonction d’imperméabilisation

Kathia BEULQUE Kathia BEULQUE

Recours contre le fournisseur par une entreprise défaillante

Un fabricant qui a vendu à une entreprise, un produit défectueux et refusé de l’indemniser, peut être déclaré responsable de la procédure de liquidation judiciaire dont elle a été victime en raison de sa chute consécutive d’activité

Kathia BEULQUE Kathia BEULQUE

Vie privée et démolition de constructions irrégulières : quand la Cour de cassation s’attache à en préciser les contours

Par deux arrêts en date du 16 janvier 2020, la Cour de Cassation a apporté des précisions concernant le contrôle de proportionnalité exercé par le juge à propos du droit à la vie privée et la question de la démolition de constructions irrégulières.

Jacques-Eric MARTINOT Jacques-Eric MARTINOT

Recours entre co-obligés : La Cour de cassation choisit 2224 du Code Civil et non 1792-4-3

L’arrêt était très attendu, eu égard aux nombreuses interrogations qui entouraient le délai de recours entre co-obligés : 10 ans à compter de la réception des ouvrages (1792-4-3 du Code Civil) ou 5 ans à compter de la connaissance des faits par le demandeur en garantie (2224 du Code Civil) ?

Equipe VIVALDI Equipe VIVALDI

Le trouble de voisinage même en risque justifie l’indemnisation

Par arrêt en date du 24 octobre 2019, la Cour de Cassation en sa 3ème Chambre Civile a jugé qu’un risque de trouble anormal pouvait excéder les inconvénients normaux de voisinage et donc être indemnisé.

Equipe VIVALDI Equipe VIVALDI

Architecte et honoraires

La clause du contrat d’architecte qui impose à une SCI, maître de l’ouvrage non professionnel, de régler la totalité des honoraires de l’architecte, même en cas d’abandon du projet, est abusive

Kathia BEULQUE Kathia BEULQUE

Quand la Cour de cassation outrepasse les termes de la mission strictement limitée confiée à l’architecte

Par arrêt en date du 21 novembre 2019 n° 16-23.509, la Cour de Cassation a retenu la responsabilité décennale de l’architecte titulaire d’une mission permis de construire du fait de la mauvaise qualité des remblais réalisée par le Maître d’Ouvrage a l’origine des désordres.

Equipe VIVALDI Equipe VIVALDI

DO et sanction

L’assureur DO qui ne respecte pas les obligations qui lui sont imposées par les dispositions de l’article L 242-1 du Code des Assurances, ne peut que se voir appliquer les sanctions légalement prévues et pas au-delà

Kathia BEULQUE Kathia BEULQUE

Responsabilité civile décennale du vendeur après achèvement

Le caractère caché ou apparent des désordres s’apprécie en la personne du maitre de l’ouvrage constructeur et au jour de la réception qui correspond pour celui-ci à l’achèvement des travaux et non au jour de la vente par ce maître de l’ouvrage à l’acheteur

Kathia BEULQUE Kathia BEULQUE

Application des dispositions du code de la consommation dans le cadre d’une opération de construction pour certains professionnels de l’immobilier

Par arrêt en date du 07 novembre 2019, la Cour de Cassation en sa 3ème Chambre Civile a jugé que les dispositions du Code de la Consommation relatives aux clauses abusives étaient applicables à une SCI ayant pour objet social l’investissement et la gestion immobiliers et notamment la mise en location d’immeubles dès lors qu’elle ne saurait être qualifiée de « professionnel de la construction ».

Equipe VIVALDI Equipe VIVALDI

CCMI et garant de livraison

En CCMI, le garant de livraison à prix et délais convenus est tenu à la reprise de tous les désordres et/ou non conformités, en ce compris réservés à la réception et dénoncés dans les 8 jours de la remise des clés consécutive à la réception réalisée sans l’assistance d’un professionnel habilité

Kathia BEULQUE Kathia BEULQUE

L’étendue de l’obligation du garant dans le cadre du contrat de construction

Par arrêt en date du 27 juin 2019, la Cour de Cassation en sa troisième chambre civile a jugé que la garant doit prendre en charge les travaux « nécessaires à l’achèvement de la construction » quand bien même ces travaux ne sont ni mentionnés dans le contrat de construction ni dans la notice descriptive.

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