Derniers articles Affaires / Finances

AMAZON: Quand le référencement peut conduire à des actes de contrefaçon

AMAZON condamné à indemniser CARRE BLANC pour contrefaçon sur la base de ses pratiques de référencement.

Vianney DESSENNE Vianney DESSENNE

SAS : La mention du directeur général au K-bis ne prouve pas que le directeur général puisse la représenter à l’égard des tiers

caractère « sur mesure » des statuts de la SAS doit inciter les rédacteurs des statuts à redoubler de vigilance, notamment sur l'identification des mandataires sociaux (en dehors du président) et notamment du directeur général ou du directeur général délégué.

Eric DELFLY Eric DELFLY

Responsabilité pénale des dirigeants : Le délit de banqueroute peut-il être caractérisé avant même la clôture de l’exercice comptable ?

Quel niveau de comptabilité doivent fournir les dirigeants et ancien dirigeants aux organes de la procédure collective. De la réponse à apporter dépendra la sanction à subir.

Eléonore CATOIRE Eléonore CATOIRE

Clauses abusives et prescription

Les actions visant à faire déclarer non-écrite une clause abusive ne se prescrivent pas

Kathia BEULQUE Kathia BEULQUE

Bail commercial, impossibilité pour le juge commissaire d’accorder des délais de paiement au locataire en procédure collective

Le locataire d’un bail commercial en procédure collective ne peut obtenir de délais de paiement de la part du juge commissaire, saisi par le bailleur d’une demande de constat de la résiliation du bail.

Alexandre BOULICAUT Alexandre BOULICAUT

Action en résolution d’un contrat conclu avant mais résolu après l’ouverture d’une liquidation judiciaire

L’action en résolution d’un contrat pour inexécution ne souffre pas de l’arrêt de l’arrêt des poursuites consécutive au jugement d’ouverture d’une liquidation judiciaire.

Jacques-Eric MARTINOT Jacques-Eric MARTINOT

La mise en demeure par courrier recommandé interrompt-elle la prescription ?

Dans un arrêt qui reçoit les honneurs de la publication au Bulletin, la Cour de cassation revient sur les causes d’interruption de la prescription, et sur le cas de la mise en demeure.

Eléonore CATOIRE Eléonore CATOIRE

L’expertise de gestion sur l’historique et l’utilisation des fonds apportés à la société par un compte courant d’associé

La question s’est posée aux juges de la Haute Cour, de déterminer si un associé pouvait solliciter, au visa de l’article L223-37 du Code de commerce, une expertise de gestion portant en partie, sur le montant, l’utilisation du compte courant d’associé, et son adéquation avec l’objet social de la société.

Eléonore CATOIRE Eléonore CATOIRE

Peut-on faire appel de la décision du juge, refusant la désignation d’un Expert chargé d’évaluer les droits sociaux (Art 1843-4 C.Civ) ?

Les dispositions de l’article 1843-4 du Code civil sont claires en ce qu’elles permettent la désignation d’un Expert évaluateur dans plusieurs hypothèses, grâce à l’intervention du Président du tribunal concerné (judiciaire/commerce). Mais si celui-ci, pour quelque raison que ce soit, refuse de désigner ledit Expert, peut-on interjeter appel ?

Eléonore CATOIRE Eléonore CATOIRE

Le préjudice moral du débiteur en liquidation judiciaire

La question qui s’est posée au juge de la Haute Cour est de déterminer si la procédure intentée par une société, en réparation de son préjudice morale, fait l’objet d’un dessaisissement au profit du liquidateur judiciaire au moment de l’ouverture de la procédure collective ? SOURCE : Cour de cassation, Chambre commerciale, 9 juin 2022, N°21.12.348 (F-D)

Eléonore CATOIRE Eléonore CATOIRE

Le mandataire commun d’associés en indivision est-il libre de son vote ?

Selon la Cour d’Appel de VERSAILLES, la mission du  mandataire désigné à l’article 1844 du Code  Civil implique que le mandataire recueille l’avis des indivisaires, préalablement au vote et non leur accord et agissent en fonction du seul intérêt de l’indivision sous réserves de la mise en cause de son éventuelle responsabilité professionnelle

Eric DELFLY Eric DELFLY

Responsabilités du dirigeant d’une société victime d’une brutale rupture de relations commerciales établies ?

La Cour de Cassation censure la Cour d’Appel d’AIX EN PROVENCE qui condamnait le dirigeant d’une société au titre de sa responsabilité pour insuffisance d’actif au motif d’un manquement à son obligation de diligences en engageant la société qu’il dirigeait dans une activité reposant sur un client unique sans trouver le moyen de garantir la pérennité des relations commerciales. Pour la Haute Cour, ces motifs sont impropres à établir l’existence d’une faute de gestion non susceptible d’être analysée en une simple négligence.

Eric DELFLY Eric DELFLY