Derniers articles Banque / Crédit

Nouvelle demande de surendettement : Quelle recevabilité ?

La recevabilité d’un nouveau dépôt de surendettement, après déchéance de la première demande, est conditionnée à la qualification par le juge des faits allégués par le débiteur qu’ils ne constituent pas des éléments nouveaux dans sa situation.

Jacques-Eric MARTINOT

Péremption et prorogation du commandement de payer valant saisie immobilière

La péremption du commandement de payer valant saisie s’impose au juge qui la constate. Cependant, la Cour d’appel peut valider la prorogation du commandement indument prorogé par une décision antérieure sans commettre d’excès de pouvoir.

Jacques-Eric MARTINOT

Taxonomie : publication du règlement européen sur la finance durable

Le règlement européen sur l'établissement d'un cadre visant à favoriser les investissements durables a été adopté le 18 juin 2020. Sur la base d'objectifs environnementaux, il fixe des critères pour déterminer si une activité économique est écologiquement durable.

Thomas LAILLER

Saisie attribution : un rappel s’impose quant à la prorogation du délai de contestation

Les règles de computation des délais précisent, et dans le cas d’espèce pour le délai du mois pour former une contestation relative à une saisie attribution, si le dernier jour est un samedi, un dimanche ou un jour férié, il est prorogé jusqu’au premier jour ouvrable suivant.

Jacques-Eric MARTINOT

Péremption et prorogation du commandement de payer valant saisie immobilière

La péremption du commandement de payer valant saisie s’impose au juge qui la constate. Cependant, la Cour d’appel peut valider la prorogation du commandement indument proroger par une décision antérieure sans commettre d’excès de pouvoir.

Jacques-Eric MARTINOT

Crédit professionnel et prescription de l’action de la Banque : gare à la qualité du coemprunteur

La prescription biennale issue du Code de la consommation ne trouve pas à s’appliquer à l’action de la banque lors du recouvrement d’un prêt professionnel, que l’action soit dirigée contre l’emprunteur où un coemprunteur étranger à l’activité professionnelle.

Jacques-Eric MARTINOT

Mesures conservatoires contre les associés d’une SCI défaillante dans son plan de redressement judiciaire

La défaillance d'une SCI, en plan de redressement, peut suffire à établir l'existence d'une créance fondée en son principe et de circonstances susceptibles d'en menacer le recouvrement. Elle justifie les saisies conservatoires engagées contre ses associés.

Thomas LAILLER

Crédit affecté : Négligence de la banque…et de l’emprunteur…

Dans le cadre d’un crédit affecté, les emprunteurs ne peuvent accepter la mise en place à leur domicile de l’installation avant la signature du contrat de vente en certifiant l’exécution du contrat, mais également l’exécution de la prestation en réalité inachevée.

Jacques-Eric MARTINOT

Acte notarié et procuration falsifiée

Si la falsification d’une procuration n’a pu être établie qu’au moyen d’une expertise judiciaire, la signature étant en apparence valable, la responsabilité du notaire ne peut être recherchée.

Kathia BEULQUE

Surendettement : le traitement des dettes professionnelles est harmonisé

A compter du 19 juin 2020, les dettes professionnelles peuvent faire l'objet d'un effacement dans le cadre d'une procédure de rétablissement personnel avec ou sans liquidation judiciaire.

Thomas LAILLER

Covid-19 : report des délais concernant le surendettement des particuliers

Une fiche technique de la Direction des affaires civiles et du sceau (DACS) du ministère de la justice mise à jour le 15 mai 2020 donne des précisions sur l’application aux procédures de surendettement de l’ordonnance n° 2020-306 du 25 mars 2020 relative à la prorogation des délais échus pendant la période d’urgence sanitaire, qui court du 12 mars au 23 juin 2020 inclus, et à l’adaptation des procédures pendant cette période.

Thomas LAILLER

TEG ET CLAUSE 360 : Revirement de la Cour de cassation sur le TEG et confirmation de la jurisprudence récente sur les intérêts contractuels

Par avis en date du 20 juin 2020, la Cour de cassation pose une nouvelle solution dans ce litige devenu récurrent. Ainsi, l’erreur où l’omission du TEG n’entraine que la déchéance des intérêts dans une limite que le juge fixe en tenant compte de la gravité de la faute du prêteur et du préjudice subi par l’emprunteur.

Jacques-Eric MARTINOT