La banque, qui omet de contrôler la régularité de l’endos d’un chèque n’est pas toujours responsable du préjudice subi par son client
En toutes circonstances, en cas de vente d’un bien de valeur, exigez un chèque de banque de l’acquéreur, ou redoublez de vigilance…
Le locataire d’un bail commercial ne peut agir en garantie décennale
Le titulaire d’un simple droit de jouissance ne peut agir contre le constructeur en responsabilité décennale.
Caractérisation d’actes de concurrence déloyale
Un faisceau d’indice ne suffit pas à caractériser des actes de concurrence déloyale
Détermination du prix dans une réponse à appel d’offre
Selon le gouvernement, l’offre comportant un prix approximatif et ajustable selon les circonstances doit être rejetée.
La promesse synallagmatique de vente et d’achat ne vaut pas toujours vente.
Lorsque les parties subordonnent l’existence du contrat de vente à la signature d’un acte authentique, alors le refus de l’une d’elles de réitérer l’acte devant notaire ne se résout que par l’octroi de dommages et intérêts.
Les parties à un contrat ne sont pas les seules à pouvoir se prévaloir de la clause compromissoire insérée au contrat…
Une société peut se prévaloir de la clause compromissoire contenue dans le contrat de cession de ses parts entre un associé et une entité, pour soulever l’incompétence du Juge judiciaire dans un litige l’opposant à cet associé concernant le remboursement de son compte courant.
Système de taxation de l’électricité
La France a été condamnée par la CJUE pour non transposition, dans les délais impartis, de la directive 2003/96/CE du 27 octobre 2003 restructurant le cadre communautaire de taxation des produits énergétiques et de l'électricité
Clause abusive et VEFA
N’est pas abusive la clause prévoyant une majoration du délai de livraison en cas d’intempéries, grève, ou procédure collective d’une entreprise, de même que la clause laissant l’appréciation des jours d’intempéries à l’architecte ou à un bureau d’étude.
Dol relatif à la solidité de l’immeuble pris à bail
Commet un dol par réticence le bailleur qui n’informe pas son cocontractant, lors de la signature du contrat de bail, des problèmes sérieux de structure des locaux objet du bail.
Motifs d’intérêt général permettant au pouvoir adjudicateur de déclarer sans suite un marché public.
S’il est acquis qu’en l’absence de motifs d’intérêt général, la renonciation du pouvoir adjudicateur à un marché public est illicite[1], le manque de jurisprudence significative en la matière a conduit une parlementaire à interroger le gouvernement sur la notion de « motifs d’intérêt général » susceptibles d’être invoqués par le pouvoir adjudicateur pour déclarer un marché sans suite.