Congé maternité immédiatement suivi d’un arrêt de travail pour cause de maladie : quid la protection relative des quatre semaines ?
L'arrêt de travail pour maladie n'a pas pour effet de reporter le point de départ de la période de protection de quatre semaines.
Rupture conventionnelle : conséquence d’une erreur de date et d’insuffisance du montant de l’indemnité de rupture.
Il appartient à la Cour d'Appel de rectifier la date de rupture et de procéder à une condamnation pécuniaire.
SCI : augmenter le capital social afin de diluer un minoritaire caractérise un abus de majorité.
Il en est de même de la mise en réserve systématique de la totalité des bénéfices lorsque la société n'a plus d'activité.
Convention de forfait annuel jours : invalidation dans l’hôtellerie.
Nullité des stipulations du contrat de travail insuffisantes à assurer la protection de la sécurité et de la santé du salarié.
Procédure d’inaptitude troublée par la mise en retraite du salarié à 60 ans : quelle indemnisation pour le salarié ?
Le médecin du travail qui omet de faire passer la seconde visite requise ne commet pas un harcèlement moral à l'égard du salarié.
Le retour du salarié détaché dans son poste d’origine ne saurait être considéré comme une modification du contrat de travail.
Le salarié qui refuse délibérément sa réintégration à l'issue du détachement encourt un licenciement pour faute grave.
CDD : quand 225 contrats sur 11 années peuvent se justifier.
Caractérisation de l'absence de lien avec l'activité normale et permanente de l'entreprise.
Requalification en CDI : 589 CDD, c’est trop…
… Même dans un secteur d'activité où le recours au CDD est un usage constant.
Licenciement dans une filiale : la société mère peut déléguer pouvoir à son directeur financier afin de signer les lettres de la procédure.
Le DAF de la société mère n'est pas une personne étrangère à l'entreprise.
Rupture conventionnelle : caractérisation du vice du consentement du salarié.
Induire le salarié en erreur peut s'avérer fatal pour l’employeur.
Tabagisme passif : l’absence de protestation du salarié ne permet pas à l’employeur de s’exonérer de son obligation de sécurité de résultat
L'exonération de l'employeur est quasi impossible.
Justification du recours au travail intérimaire : 114 contrats sur un an et demi, c’est trop … quel que soit le motif invoqué.
Conclure 114 contrats d'intérim avec le même salarié pour occuper le même poste démontre que l'entreprise utilisatrice pourvoit un emploi lié à son activité normale et permanente.